pour elle qui ne sait

qui ne sent

dont le cœur-âme /ioüánni/ne s’aveulit

à son basalte intime

une image bruitant les suées énigmatiques

rien qu’un signe ô

voire l’insignifiance

Et c’est un songe bleu que ces hommes n’emboivent
Tous serpents de mémoires allant le vieil oubli
Il n’y a plus de ces pierres que brisures vives de rythmes
Plus que poussières en tesselles mosaïques
L’écrit ne se souvient comme l’œil ne voit
Tant la geste rue ses orgueils au lointain souvenir
Venir à ces traces et jours
comme s’éclaire l’homme d’ici-là
Ouragan-cyclone de clartés
Il drosse ses couleurs
Il amarre les vertiges
Il charroie dans ses arts tout mouvement immobile
Il est Ceux qui furent à notre absence présence première
Et voici l’homme boutou o.ko
Bâton-vivant-rêvant